
LE DÉFI DE LA COHESION DES ACTEURS PUBLICS
Depuis la création du District urbain de Nancy en 1959, puis celle de la Communauté urbaine du Grand Nancy en 1996, les missions de l’intercommunalité n’ont cessé de se renforcer. Aujourd’hui, avec une intégration fiscale de 61% (c’est-à-dire le poids de la fiscalité intercommunale par rapport à la fiscalité totale communale et intercommunale), la Métropole est la plus intégrée de France, un grand nombre de compétences ayant été transférées des communes à l’intercommunalité. Une situation qui va s’intensifier à l’avenir par choix ou par nécessité. Les communes constituent le socle de la construction métropolitaine.
Il est donc essentiel qu’elles en partagent les ambitions et les engagements. Cela implique un dialogue plus soutenu entre les élus municipaux et les citoyens pour rendre ces derniers acteurs du projet métropolitain.
Les restrictions financières liées à la dégradation des finances publiques de notre pays et l’important investissement à réaliser pour renouveler et étendre le réseau de tramway contraignent la Métropole à économiser 25 M € par an d’ici 2022. Pour éviter de recourir à une hausse d’impôts, la mutualisation des services et des réalisations s’impose. Mutualiser davantage, c’est ne plus se limiter à « vouloir vivre ensemble » mais « vouloir faire ensemble ».
Cette démarche, composante majeur du projet métropolitain vise plusieurs objectifs : réaliser des économies d’échelles significatives, éviter au maximum de faire porter l’effort financier sur la qualité de service aux habitants et améliorer la performance collective de la Métropole et des communes.
Mais la cohésion des acteurs publics ne peut se limiter au seul face à face entre les communes et l’intercommunalité. À charge pour la Métropole de la rechercher aussi avec les décideurs publics dans leur diversité : État, région, département, université, CCI ainsi qu’avec les acteurs des territoires voisins pour mener des actions communes, en particulier dans les domaines de l’économie et des mobilités.
Il est donc essentiel qu’elles en partagent les ambitions et les engagements. Cela implique un dialogue plus soutenu entre les élus municipaux et les citoyens pour rendre ces derniers acteurs du projet métropolitain.
Les restrictions financières liées à la dégradation des finances publiques de notre pays et l’important investissement à réaliser pour renouveler et étendre le réseau de tramway contraignent la Métropole à économiser 25 M € par an d’ici 2022. Pour éviter de recourir à une hausse d’impôts, la mutualisation des services et des réalisations s’impose. Mutualiser davantage, c’est ne plus se limiter à « vouloir vivre ensemble » mais « vouloir faire ensemble ».
Cette démarche, composante majeur du projet métropolitain vise plusieurs objectifs : réaliser des économies d’échelles significatives, éviter au maximum de faire porter l’effort financier sur la qualité de service aux habitants et améliorer la performance collective de la Métropole et des communes.
Mais la cohésion des acteurs publics ne peut se limiter au seul face à face entre les communes et l’intercommunalité. À charge pour la Métropole de la rechercher aussi avec les décideurs publics dans leur diversité : État, région, département, université, CCI ainsi qu’avec les acteurs des territoires voisins pour mener des actions communes, en particulier dans les domaines de l’économie et des mobilités.











